« VIENS DE LIRE LA PIÈCE. BOULEVERSÉ- NE PEUX PAS ME RESSAISIR, TRANSPORTÉ D’ADMIRATION, TROUVE LA PIÈCE BELLE ENTRE LES BELLES QUE VOUS AYEZ ÉCRITES – DE TOUT CŒUR FÉLICITE L’AUTEUR GENIAL. JE COMPRENDS ET JE SENS LA VALEUR DE CHAQUE MOT. » — – Télégramme du 20 Octobre 1903 de Constantin Stanislavski à Anton Tchekhov –

Après nos travaux sur Les Plaisanteries en un acte, La Mouette, Les Trois sœurs, Oncle Vania pour finir l’étude sur Tchekhov, nous sommes confrontés à notre Everest : La Cerisaie.

Dernière pièce de la tétralogie de Tchekhov, celui qui a révolutionné l’écriture dramatique, Tchekhov témoin impartial, Tchekhov notre prochain. (Cf. Georges Banu).

Tchekhov un ami

Un vrai travail de troupe avec les comédiens du Théâtre Antibéa.

Chef d’œuvre

La représentation du dimanche 13 octobre à 16h00 sera suivie d’un échange avec le public sous la forme d’une conversation autour de Tchekhov animée par Rémi Baup et Franck Rollier, psychanalystes membres de l’école de la cause Freudienne.

Le 19 octobre à 11h

Vernissage de l’exposition illustrant La Cerisaie de Tchekhov et Hamlet de Shakespeare par Brigitte Pique et Dominique Czapski

« Casemates » boulevard d’Aiguillon Antibes